Depuis 2012, la situation sécuritaire dans le bassin du Lac Tchad s'est considérablement aggravée. En effet, la dynamique des conflits dus à l’insurrection de Boko Haram a fortement perturbé les activités économiques (l'agriculture, la pêche, l’élevage, le commerce,) et la circulation des personnes et des biens dans la zone concernée.
Face à un tel environnement ayant provoqué les déplacements massifs de population dans les pays concernés, doublé d’un assèchement progressif dudit lac lié aux effets de changement climatique (Nigeria Cameroun, Tchad et Niger), la nécessité d’une intervention urgente s’impose afin de faire face aux crises sécuritaires et alimentaires et la vulnérabilité des populations.
Depuis 2012, la situation sécuritaire dans le bassin du Lac Tchad s'est considérablement aggravée. En effet, la dynamique des conflits dus à l’insurrection de Boko Haram a fortement perturbé les activités économiques (l'agriculture, la pêche, l’élevage, le commerce,) et la circulation des personnes et des biens dans la zone concernée.
Face à un tel environnement ayant provoqué les déplacements massifs de population dans les pays concernés, doublé d’un assèchement progressif dudit lac lié aux effets de changement climatique (Nigeria Cameroun, Tchad et Niger), la nécessité d’une intervention urgente s’impose afin de faire face aux crises sécuritaires et alimentaires et la vulnérabilité des populations.
Depuis 2012, la situation sécuritaire dans le bassin du Lac Tchad s'est considérablement aggravée. En effet, la dynamique des conflits dus à l’insurrection de Boko Haram a fortement perturbé les activités économiques (l'agriculture, la pêche, l’élevage, le commerce,) et la circulation des personnes et des biens dans la zone concernée.
Face à un tel environnement ayant provoqué les déplacements massifs de population dans les pays concernés, doublé d’un assèchement progressif dudit lac lié aux effets de changement climatique (Nigeria Cameroun, Tchad et Niger), la nécessité d’une intervention urgente s’impose afin de faire face aux crises sécuritaires et alimentaires et la vulnérabilité des populations.
La durée du contrat est de deux (02) ans, éventuellement renouvelable avec une période de probation de six (6) mois sur la durée du projet. Le renouvellement du contrat ne pourra se faire qu’après une évaluation jugée satisfaisante par le Maître d’Ouvrage et la Banque Mondiale, suite à une évaluation sur la base d’un contrat de performance.
Le Coordonnateur National invite les consultants individuels à manifester leur intérêt en vue de fournir les services décrits ci-dessous. Les candidats intéressés doivent fournir les informations démontrant qu’ils possèdent les qualifications requises et une expérience pertinente pour l’exécution des services.
le Gouvernement, avec l’appui de la Banque mondiale
No de Crédit : 6643-CM ; N° du Projet : P 161706
Les candidatures devront être soumises : (i) en version physique sous pli fermé ou (ii) par email au plus tard le 01er mars 2023 à compter de la date de publication du présent avis, à l’adresse ci-dessous indiquée avec la mention suivante :
« AVIS DE SOLLICITATION A MANIFESTATIONS D’INTERETN° 005/ASMI/MINEPAT/PROLAC/UMOP/SPM/2023 pour le recrutement d’un Spécialiste Junior en Passation des Marchés au sein de l’Unité de Mise en Œuvre du Projet de Relance et de Développement de la Région du Lac Tchad (PROLAC), A N’OUVRIR QU’EN SEANCE DE DEPOUILLEMENT DES PLIS ».
Les dossiers de candidature seront soumis en version physique (03 exemplaires dont 01 original et 02 copie marqués comme tels) ou en version électronique ; et devront comprendre les documents suivants : a) une lettre de motivation détaillée ; b) un curriculum vitae (CV) du candidat signé et daté de moins de trois (03) mois avec les adresses complètes du candidat (Boîte postale, téléphone, e-mail, etc.) mettant en exergue les expériences similaires ; c) des photocopies des diplômes, attestations et/ou certificats de travail et tout autre document démontrant les aptitudes/qualifications du candidat.
- avoir au moins un diplôme universitaire (BAC + 3) en passation des marchés, ingénierie, droit, économie, administration, commerce ou tout autre domaine connexe ;
- avoir au moins trois (03) ans d’expérience professionnelle dans la passation des marchés ;
- avoir exercé pendant au moins deux (02) ans à un poste de responsabilité similaire dans le secteur public ou privé dans le cadre d’un financement accordé par une Banque Multilatérale de Développement (BM, BAD, BID, etc.) ;
- avoir une bonne connaissance des procédures de passation des marchés de la Banque Mondiale ou de tout autre bailleur de fonds ;
- Posséder une bonne connaissance pratique du code des marchés publics, du rôle des différents acteurs et du fonctionnement des Commissions de passation des marchés ;
- avoir une bonne connaissance du Pack Ms Microsoft Office et internet, etc…) ;
- Être apte à travailler en équipe ;
- Être apte à travailler efficacement sous pression ;
- Avoir une excellente capacité de communication écrite et orale de l’une des langues que sont le français et l’anglais, et une bonne connaissance de l’autre ;
- Avoir une connaissance de STEP serait un atout.
L’adresse de dépôt des versions physiques des dossiers de candidatures est la suivante :
A l’attention de Monsieur le Coordonnateur National de L'Unité de Mise en Œuvre du Projet de Relance et de Développement de la Région du Lac Tchad,
Cameroun, Kousseri, située au quartier résidentiel en face du Commissariat Central
B.P. : 242 Kousseri
Téléphone : (+237) 698 377 070.